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Prêt pour votre nouveau job ?

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Félicitations ! Vous êtes nouvellement embauché ou sur le point de l’être… Une nouvelle étape de votre vie professionnelle démarre ! Vous pouvez ressentir un tas d’émotions : joie, fierté, soulagement, enthousiasme et peut-être aussi une certaine appréhension…

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Etes-vous vraiment sûr d’être prêt pour ce nouveau job ?

Un recrutement extérieur à l’entreprise sur quatre se solde par un échec (25%), selon une enquête ANDRH-ATMOS.

Dans d’autres cas, difficiles à quantifier, le nouvel embauché va être confirmé dans son nouveau poste mais peut :

  • « traîner des casseroles lourdes à porter » longtemps après sa nomination,

  • se voir contraint de museler l’expression de son talent,

  • s’épuiser à la tâche, à force de lutter contre « les résistances », les « exigences du poste » ou le manque de soutien.

Votre prise de poste recèle des incertitudes, des risques et des opportunités.

D’importants défis vous attendent si vous êtes dans l’une des situations suivantes :

  • C’est votre premier poste de Manager d’équipe

  • Vous augmentez sensiblement votre périmètre ou la taille de votre équipe

  • Vous connaissez mal votre future hiérarchie et n’êtes pas sûr du soutien qu’elle vous apportera ou de son style de Management

  • Vous n’êtes pas familier avec la culture de votre nouvelle entreprise : quels sont ses codes, sa culture de Management, ses modalités de contrôle, son rythme…

  • Vous changez de région : comment allez-vous vous adapter à un nouvel environnement affectif, amical, géographique ou culturel ?

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15 jours pour éviter de « se griller »

Dès votre prise de poste, votre hiérarchie et vos collaborateurs vont commencer à scruter vos faits et gestes ; leur but : déceler des signaux faibles pour se rassurer ; car l’arrivée d’un nouveau suscite souvent des réactions diverses : crainte, espoir, jalousie, incertitude et chacun veut intuitivement limiter les risques de changement dans son espace professionnel.

Concrètement, votre prise de poste vous confronte à un triple défi : émotionnel, relationnel et d’apprentissage.

1. Le défi émotionnel

La nouveauté suscite tantôt l’inquiétude ou la sérénité, le manque ou l’excès de confiance… La pression de l’enjeu, le désir de réussir causent du stress qui se traduit régulièrement par une fatigue, une surexcitation ou des problèmes de sommeil. J’ai vu rarement des explosions émotionnelles en période de prise de poste ; en revanche, le stress prend plutôt la forme soit de l’inhibition, soit de l’excès de confiance (arrogance dans des cas rares).

2. Le défi relationnel

Il s’agit d’établir une relation de confiance avec chacun sans verser dans la démagogie ou la familiarité. Avoir des relations tièdes et prudentes est plutôt facile, affirmer votre singularité tout en respectant les limites subtiles des gens que vous connaissez mal, c’est plus difficile.

Comment trouver la bonne distance avec vos interlocuteurs ? Comment concilier l’expression de vous-mêmes et les attentes de votre entourage professionnel ?

3. Le défi d’apprentissage

Acquérir une compétence, c’est mobiliser des connaissances, savoir-faire et savoir-être dans un contexte particulier. Le nouveau contexte de travail nécessite la maîtrise d’outils (outils de gestion, de reporting, système d’information), d’activités et de modes de travail nouveaux. Cela requiert une capacité d’adaptation que chacun tend régulièrement à sous-estimer.

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Les principales causes d’échec d’une prise de poste

La première cause d’échec est l’absence de suivi régulier par la hiérarchie. A ce titre, 58% de dirigeants, cadres supérieurs ou managers ne bénéficient d’aucun suivi particulier de la part de leur entreprise ! Les plus malins prennent l’initiative de se faire aider par un coach sur leurs propres deniers.

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Pour votre prochaine prise de poste, parmi ces risques fréquemment constatés, lequel vous concerne le plus ?

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Le refuge dans l’expertise technique

Ex : Un manager se réfugie dans son expertise technique au moindre signe de stress ou d’inconfort ; il a du mal à construire une posture managériale adaptée à sa nouvelle fonction.

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Le deuil incomplet de son ancien poste et/ou environnement de travail

Ex : le manager fait régulièrement référence aux bonnes pratiques de son ancienne entreprise. C’est le syndrome du « c’était mieux avant ». Malgré la nomination qu’il a souhaitée, il peine à faire le deuil de son ancien poste.

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Le manque de soutien ou demande de soutien

Ex : Un manager autrefois très soutenu par sa hiérarchie doit désormais « se débrouiller tout seul » ; il n’est pas habitué à faire preuve d’initiative et, bien que volontaire et décidé, il ne cerne pas forcément de quelle façon et dans quel registre prendre des initiatives. D’ailleurs, certaines initiatives audacieuses, mal adaptées ou trop précoces lui ont « brûlé les ailes ».

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La confrontation à un système de contrôle contraignant

Ex : Un manager à l’aise dans l’autonomie doit désormais rendre davantage de comptes. De plus, le contrôle exercé par l’entreprise prend des formes contraignantes qu’il a du mal à supporter (et même à comprendre ?).

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Le bouleversement culturel, affectif et familial lié au nouveau poste

Ex : Un manager muté dans une région différente de la sienne peine à s’adapter à son nouvel espace de vie, et aussi à la culture de son nouveau lieu de résidence (amitiés, activités, relations affectives et familiales).

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Pour prévenir ces risques ou les gérer en situation, je vous invite à vous poser des questions et à faire preuve de lucidité et d’humilité.

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J’accompagne les managers et dirigeants par un coaching de prise de poste. Nous verrons plus loin en quoi je peux vous aider à réussir durablement dans vos fonctions.

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3 à 6 mois pour concrétiser des opportunités

Saisir les opportunités de votre nouvelle situation est tout aussi important que de vous prémunir des risques que nous venons d’exposer.

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Toute situation nouvelle offre une ouverture, une période où « tout semble possible », où votre environnement de travail offre une malléabilité…Votre hiérarchie, vos collègues et collaborateurs ne se sont pas encore forgés une image de ce que vous êtes, être sensé faire très précisément ou êtes capable de faire. « Les portes de la certitude » ne se sont pas encore refermées.

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La plupart des nouveaux embauchés tendent à sous-estimer leur marge de manœuvre ! Le stress et l’inhibition de leurs débuts dans le poste les conduisent à sur-adapter, donc à subir leurs activités et relations professionnelles. 

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Or, un de mes rôles en tant que coach est de vous aider à développer votre proactivité, malgré l’incertitude et la maitrise incomplète de votre poste.

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Etre proactif dans votre prise de poste, c’est par exemple en profiter pour construire votre réseau interne, mettre en avant votre regard, vos idées, propositions, projets, partager vos valeurs professionnelles, etc. tout en sachant respecter les contraintes et les limites à ne pas franchir.

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La « période d’essai » n’est pas seulement une période probatoire pour l’entreprise et votre hiérarchie, c’est aussi une opportunité pour vous d’essayer, de créer, de construire, d’imaginer du neuf. Changez de regard sur l’expression : votre période d’essai !

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L’art de prendre votre poste consiste donc à concilier :

  • la gestion des risques liés à votre fragilité (n’ayant pas encore fait vos preuves),

  • la saisie des opportunités qu’offrent votre statut de nouvel embauché.

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Lors de votre période d’essai, votre chemin n’est pas totalement balisé ; en ce sens, vous êtes un artiste. Et tout artiste, avec sa part d’espoir, d’insouciance, de fragilité, a besoin d’être guidé, encouragé, stimulé, sécurisé pour faire émerger tout son talent.

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Que vous apporte le coaching de prise de poste ?

En quoi le coaching de prise de poste que je pratique peut vous aider ?

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Lorsque je vous accompagne, mon ambition est double :

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1. Sécuriser votre prise de poste

  • Déceler et réduire les ambiguïtés et les pièges du poste.

  • Savoir ce que votre hiérarchie et vos collaborateurs attendent de vous précisément, afin d’être efficace et éviter les malentendus.

  • Mieux comprendre votre hiérarchie, vos collègues et collaborateurs pour établir une bonne relation avec eux.

  • Mieux gérer votre stress pour libérer votre potentiel et vivre mieux.

  • Gérer votre sentiment d’incompétence ou les carences que vous avez. Gagner la confiance de votre entourage.

  • Gagner la confiance de votre entourage.

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2. Etre proactif pour saisir les opportunités

  • Configurer votre poste, le dessiner en tenant compte le plus possible de vos désirs et atouts. (Nous sous-estimons souvent la marge de manœuvre qui existe au démarrage d’un poste ou d’un projet).

  • Affirmer vos valeurs, ce qui est important pour vous.

  • Lancer des projets ou des activités qui vous motivent et vous positionnent favorablement.

  • Construire votre qualité de vie au travail (QVT) : préserver votre équilibre vie privée/ vie pro, travailler mieux, éviter l’excès de travail, sans passer pour un paresseux.

  • Mettre en place un plan d’action motivant pour vous guider vers la réussite.

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