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Dépendances

 


Sortir de l'emprise. Retrouver du choix.

🌀 Dépendance : quand quelque chose prend trop de place

Il arrive qu’un comportement, une substance, une habitude… prenne le dessus. Qu’on ait l’impression de ne plus décider vraiment, ou de ne pas pouvoir s’en passer.

Substances (alcool, tabac, sucre…), habitudes (travail, écrans, jeux…), relations (dépendance affective, besoin de reconnaissance…) : la dépendance prend des formes diverses, mais a souvent un point commun.
Elle vient soulager un malaise intérieur, apaiser une tension, remplir un vide — du moins temporairement.

Je vous propose ici un éclairage sur ces dynamiques, en commençant par l’alcool.
D’autres formes de dépendance seront ajoutées peu à peu, selon les besoins.


Sans prétendre poser un diagnostic, il s'agit ici d'ouvrir un espace pour accueillir ce qui fait vaciller ou questionne — et voir comment la psychothérapie peut y répondre.

Et si l’alcool n’était pas le problème… mais une tentative de solution ?
Une autre lecture de la consommation excessive

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Il n’est pas nécessaire d’être “alcoolique” pour sentir que sa consommation d’alcool pose question. Parfois, un verre de trop devient un réflexe.

Une habitude devient une gêne.

Sans que cela fasse scandale, sans perte de contrôle brutale… mais avec un petit fond de malaise, ou la sensation qu’on n’est plus tout à fait libre.

Ce signal mérite d’être entendu. Sans peur. Sans jugement.

L’alcool est souvent réduit à un problème de contrôle, de volonté ou de comportement.

On le traite comme un symptôme isolé, à faire disparaître coûte que coûte.

Pourtant, pour beaucoup, il agit comme un apaisant, un stimulant, un refuge temporaire — une tentative de réguler ce qui fait mal, de répondre à ce qui déborde.

Certaines consommations deviennent pesantes, envahissantes, parfois préoccupantes.

Mais plutôt que de poser d’emblée un diagnostic ou d’étiqueter une personne, je propose ici un changement de regard : et si ce comportement était d’abord une réponse ?

Une tentative (souvent maladroite mais bien réelle) de faire face à un trop-plein, une douleur, un vide, une pression ?

Dans cette page, j’explore l’accompagnement de personnes qui sentent que leur rapport à l’alcool pose question.

Sans prétendre tout résoudre, ni me substituer à un traitement médical, je propose un espace pour réfléchir autrement, sortir de la culpabilité et redonner du sens à ce qui nous traverse.

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Mon approche
 

L’alcool, miroir de nos émotions

Loin des discours dramatisants ou moralisateurs, je vous propose ici un espace de recul et d’exploration.
Car l’alcool n’est pas qu’un comportement : c’est souvent un moyen.
Un moyen d’anesthésier la douleur, d’alléger une solitude, d’échapper à la tension, d’occuper le vide.

Dans les accompagnements que je propose, il ne s’agit pas de “contrôler” ou “arrêter” à tout prix.


Il s’agit de comprendre ce qui pousse à boire — et ce que cette consommation dit de notre vécu.


Car bien souvent, la question de l’alcool est reliée à d’autres plans :

  • une fatigue émotionnelle,

  • une difficulté à dire non,

  • un besoin de réconfort jamais comblé,

  • un scénario de vie qui se répète…

Un regard différent sur les addictions
Les approches classiques de l’addiction mettent l’accent sur le comportement : boire ou ne pas boire, s’exposer ou éviter, rechuter ou tenir bon.
C’est une étape utile, mais parfois insuffisante.
Dans le film Des jours meilleurs, des femmes en souffrance sont invitées à affronter leur peur via un défi spectaculaire dans le désert.
On remplace la bouteille par l’adrénaline… mais on ne touche jamais aux blessures du cœur.
Et pourtant, c’est souvent là que tout commence.

Une approche plus profonde, plus humaine
Je travaille avec les outils de la thérapie brève, de l’hypnose, de l’EMDR et de la PNL.
En particulier, je m’appuie sur les niveaux logiques de Dilts pour explorer ce qui, derrière un comportement, touche à nos capacités, nos croyances, notre identité, notre histoire.

Ce n’est pas une promesse de miracle.
Ce n’est pas un protocole de sevrage.
C’est une proposition d’alléger le poids que l’alcool cherche à porter à votre place.​

Pour qui ?

  • Pour celles et ceux qui sentent que leur consommation d’alcool a pris trop de place,

  • Qui veulent comprendre, reprendre la main, faire autrement,

  • Sans être forcément dans une dépendance sévère,

  • Mais avec le désir sincère de redevenir acteur ou actrice de leur vie.

Important à savoir

Je ne suis ni médecin ni addictologue. 

Si votre situation relève d’un accompagnement médical, je vous encourage à consulter un spécialiste ou un centre de soin en addictologie. 

Mon travail peut, dans certains cas, venir en complément. 

Il vise à éclairer le sens, à restaurer des ressources, à permettre des choix plus libres et plus conscients.

Envie d’en parler ?

​Si vous vous posez des questions sur votre consommation, ou si vous souhaitez en parler dans un cadre bienveillant et confidentiel, je vous invite à me contacter. 

Aucun jugement. Juste un premier pas vers plus de clarté.

Vous avez envie d’en parler, simplement, sans jugement ?
Une séance peut vous aider à faire le point.

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